Développement : la BAD et la CEA parlent d'une même voix

Cette coopération institutionnelle certes bénéfique pour les économies africaines a un coût que les ressources financières de la BAD et de la CEA ne peut supporter. Reste maintenant, pour elles, à se tourner vers des bailleurs de fonds pour assurer la pérennité de cette initiative.
On peut cependant craindre que les bailleurs de fonds, plus enclins à financer des projets de développement, dont les résultats sont palpables pourraient être réticents à mettre la main à la poche pour la recherche.
Le journaliste éthiopien, Jacques Junior SCHULE, estime d'ailleurs à ce sujet qu’il est "important que nous assumions nos propres responsabilités vis-à-vis de la recherche en tant qu’Africains, pouvoirs publics mais aussi individus et grandes entreprises qui ont des moyens d’investir dans la recherche. Une recherche qui peut d’ailleurs les aider par ses résultats qui sont directement orientés vers les politiques économiques."
source : icicemac
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